


En 2020, lors du premier confinement, comme beaucoup de personnes, j’étais à l’écoute des nouvelles du monde par le biais de la radio. Des témoignages racontaient que dans les villes désertées pas les humains, la flore et la faune venait investir tranquillement les lieux. Alors, je me suis mise à imaginer des humains endormis auprès desquels les plantes et les animaux viendraient vivre en symbiose ou en interaction sans ne plus avoir à se cacher des animaux hyperactifs et expansionnistes que nous sommes.